Le tribunal a ouvert, lundi, le chapitre des groupes armés auxquels le cimentier a versé des pots-de-vin pour maintenir son activité en Syrie. Certains prévenus ont admis qu’ils savaient qu’un de ces groupes, au moins, était classé comme « terroriste » à l’époque des faits.L’ancien directeur général adjoint des opérations de Lafarge chargé de la Syrie, Christian Herrault, et son avocate Solange Doumic, au tribunal de Paris, le 4 novembre 2025.
Au procès de Lafarge, la question centrale du dossier : les anciens dirigeants du groupe avaient-ils conscience de financer des organisations terroristes ?
Scritto il 25/11/2025