Premier arrivé à l’audience, dernier parti, « Théo » a, de la fin des années 1940 à juin 1989, consigné avec une juste distance les scènes de prétoire. Des plus grands faits divers (Marie Besnard, Gaston Dominici, Pauline Dubuisson) aux procès de tortionnaires, ses comptes rendus ont porté au plus haut cet exercice journalistique si particulier.Jean-Marc Théolleyre, dans les années 1960.